« Ce n’est pas un hasard si, à chaque fois que l’esprit est vu comme un danger, on commence par interdire les livres et par soumettre à une stricte censure les journaux, les magazines et les émissions de radio. »
Die Sprache als Hort der Freiheit, 1959 (Heinrich Böll: Werke. Kölner Ausgabe. vol. 10, p. 537)