Kung Lien, qui a grandi entre les grattes-ciel de Taipei et étudié le marketing, n’avait pas forcément la vocation du retour à la terre. Elle a pourtant fait le choix de devenir paysanne pour protéger l'héritage de ses ancêtres.

Ambassadrice des circuits courts, Franceline Tranagda est une cheffe en lutte contre la mal-bouffe engagée dans une révolution du système alimentaire de son pays.

La cuisine de Claudia Ruiz Santiz a le goût de la résistance et de la résilience des femmes indigènes Tzotziles. Depuis son restaurant des hauteurs du Chiapas, au Mexique, elle offre aux femmes de sa communauté de rêver en grand, et d’échapper à une tradition patriarcale aussi violente qu'asservissante.

Sylvie Leray élève en Bretagne des huîtres naturelles nées en mer, à contre-courant de la production intensive d’huîtres triploïdes conçues en laboratoire.

L’année 2023 s’ouvre sur le 60e anniversaire du Traité de l’Élysée à l’origine de la réconciliation et de la coopération entre l’Allemagne et la France après la tragédie de la Seconde Guerre mondiale. Plus de 80% de la population des deux pays approuve aujourd’hui ce partenariat et le considère comme un moteur essentiel pour l’avenir de l’Union européenne.

Selon un sondage IPSOS, 81% des Allemands et des Français estiment que le moteur franco-allemand est essentiel ou important pour l’avenir de l’Union Européenne, mais près de 40% d’entre eux ont noté la détérioration des relations entre les deux pays.

Dans son dernier rapport, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) souligne qu’à cause du changement climatique, une personne sur trois est désormais particulièrement vulnérable. [1] Cette vulnérabilité est inextricablement liée aux inégalités sociales et est donc logiquement répartie de manière très variable à l’échelle mondiale.

Dans une tribune commune le Haut Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR) et l’ Organisation internationale pour les migrations (OIM) exhortent l’Italie et tous les États membres de l’UE à respecter le droit en vigueur, à garantir la protection des personnes et à partager équitablement les responsabilités au sein de l’UE. L’Europe a tout à gagner à promouvoir les droits de l’homme et l’État de droit. Si leur existence est menacée aux frontières extérieures, ils ne pourront guère être préservés au sein de l’Union.

Les associations et les organisations de la société civile européennes ne bénéficient pas d’un statut juridique propre en vertu des traités de l’Union Européenne. Il existe pourtant de bonnes raisons de combler ce vide juridique et de créer un statut d’association européenne.